Récipients de moustiquaires imprégnées d’insecticides. Image © Vestergaard Frandsen/Georgina Goodwin
Le paludisme et d’autres maladies d’origine hydrique qui peuvent provoquer des diarrhées sont considérés comme étant des facteurs importants dans la progression de la maladie du VIH.
Les chercheurs voulaient voir si la distribution de moustiquaires imprégnées d’insecticides et la distribution de filtres à eau, utilisés pour éviter le paludisme et les diarrhées, retarderaient la nécessité d’un traitement anti-VIH.
Environ 600 personnes séropositives, pas encore admissibles pour recevoir un traitement anti-VIH (c’est à dire leur taux de cellules CD4 était supérieur à 350 et elles n’avaient pas de symptômes graves), ont été recrutées pour cette étude.
La moitié du groupe environ a reçu les moustiquaires imprégnés et les filtres à eau.
L’utilisation des moustiquaires et des filtres a été associée à une réduction de 27% dans le nombre de personnes ayant besoin de commencer le traitement anti-VIH.
La stratégie a un très bon rapport coût-efficacité. Un modèle mathématique a montré que son utilisation en Afrique sub-saharienne permettrait d'économiser 400 millions de dollars par an sur les coûts du traitement anti-VIH.
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